YVES SAINR LAURENT
40 ans d’une carrière magistrale depuis sa première collection en 1962 jusqu’à la dernière en 2002.
Musée National de Sarajevo, Bosnie-Herzegovine – Novembre 2022

MODESTES
Portraits et histoires de femmes au Moyen Orient – Iran, Irak, Afghanistan Jordanie, Syrie, Gaza et la Cisjordanie.
Un voyage à travers l’Islam, le fondamentalisme, la guerre, la violence domestique, l’éducation et la jeunesse.
Dans les locaux du campus Boulat de la toute nouvelle Académie VII – Arles – Octobre 2022

Mehdi Ben Barka
Une journée dans la vie du leader marocain, assassiné en 1965
Festival Des Solidarités – Nantes – Espace Cosmopolis, Novembre 2021

Yves Saint Laurent, dans l’intimité de la création.

36 photos par Pierre et Alexandra depuis la première collection Yves Saint Laurent en 1962 jusqu’à la dernière en 2002.

Une exposition sous le patronage de la Fondation Bergé-Yves Saint Laurent, à l’expace DS World à Paris du 11 juin au 10 septembre 2015.

Yves Saint Laurent, début et fin.

Exposition des photos de Pierre sur la préparation de la première collection Yves Saint Laurent en 1962.
Projection des photos d’Alexandra sur la préparation de la dernière collection Yves Saint Laurent en 2002.

Les deux au Bundi 18 Lobby à Shanghaï, Chine en octobre et novembre 2014.

Voyons, Voyons.

Une rétrospective du travail d’Alexandra depuis la Yougoslavie jusqu’à Gaza.

Au début septembre 2014 à la Third Floor Gallery de Cardiff, Pays de Galles, Royaume Unis.

Yougoslavie 1991 – 1999.

Le travail d’Alexandra sur le conflit en Yougoslavie. A la Bienale Photographique de Daegu, Corée, en Septembre et Octobre 2014.

“Voyons, voyons….”
Une retrospective du travail d’Alexandra depuis la Yougoslavie jusqu’à Gaza

Au Zoom Photo Festival Saguenay, 4ième édition, en Novembre 2013.
“Cette exposition rassemble des photos, laissées comme des traces, sélectionnées par ses proches. Elles racontent de manière implacable la vie des autres, mais parlent aussi de ce que sera toujours Alexandra pour eux. “Voyons, voyons…” , comme elle disait toujours. Et puis “passons…”, comme elle l’aurait souhaité”. ”