Pierre Boulat
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Auguste Rodin - Les Brillants
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La villa des Brillants à Meudon que Rodin acquit en 1894 et où il travailla jusqu’à sa mort. -
Auguste Rodin - Les Brillants
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La salle-à-manger – Un grand tableau du peintre Falguiere orne la salle à manger de la villa. La table du sculpteur était toujours fleurie et il avait l’habitude d’y placer l’œuvre sur laquelle il travaillait jusqu’à ce qu’elle soit achevée. -
Auguste Rodin - Les Brillants
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L’atelier de Rodin. Quelques-uns de ses plus beaux plâtres y sont maintenant exposés : à droite, sur un socle, la première version d’ "Ugolin en train de dévorer ses enfants". Des fenêtres on découvre aujourd’hui les grands immeubles de Sèvres. -
Auguste Rodin - Les Brillants
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« Les bourgeois de Calais »,« La légendes des siècles », « La porte de l’Enfer », surmontée de ses trois « Ombres »… Depuis 1930, de saisissantes esquisses en plâtre des principaux chefs-d’œuvre du sculpteur dorment dans une immense remise au fond des jardins. -
Auguste Rodin - Les Brillants
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La sculpture « Jean d’Aire » dans le jardin de la Villa. -
Auguste Rodin - Les Brillants
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Le Penseur. Ayant racheté la façade du château d’Issy incendié en 1871, Rodin replaça le péristyle et le fronton dans son jardin. C’est devant ce portique qu’il a été enterré, avec sa femme Rose Beuret, dans une tombe sur laquelle fut placé « Le penseur ». -
Auguste Rodin - Les Brillants
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Le Penseur. Ayant racheté la façade du château d’Issy incendié en 1871, Rodin replaça le péristyle et le fronton dans son jardin. C’est devant ce portique qu’il a été enterré, avec sa femme Rose Beuret, dans une tombe sur laquelle fut placé « Le penseur ». -
Auguste Rodin - Les Brillants
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Le Penseur. Ayant racheté la façade du château d’Issy incendié en 1871, Rodin replaça le péristyle et le fronton dans son jardin. C’est devant ce portique qu’il a été enterré, avec sa femme Rose Beuret, dans une tombe sur laquelle fut placé « Le penseur ».
Les demeures inspirées / 3 – Auguste Rodin
Une retraite champêtre : La vila « Brillants » à Meudon près de Paris
C’est pour fuir Camille Claudel que Rodin décide de s’installer en 1894, avec sa fidèle compagne Rose Beuret, dans cette maison, sur les hauteurs de Meudon Val-Fleury, où jusqu’à sa mort en 1917, vont s’accumuler les honneurs, s’empresser les collectionneurs et se presser des égéries
La maison était mal chauffée, très simplement meublée mais Rodin s’y sentait bien. Il avait fait aménager le jardin, peuplant de cygnes les pièces d’eau, de paons les pelouses, dressant, au fond d’une allée, sa fameuse statue de Balzac, ailleurs, des sculptures gréco-romaines dont il faisait collection.
Les plus grands sculpteurs de son temps virent y travailler avec lui et des milliers de plâtres y sont encore aujourd’hui gardés en réserve, loin des yeux du public.
